Qui suis-je ?

J’ai horreur des photos (donc j’en ai assez peu), et donc tu verras celle lĂ  partout 🙂

Sur cette page, je vais t’expliquer comment j’en suis arrivĂ©e lĂ , et pourquoi je suis motivĂ©e Ă  bloc pour t’aider Ă  retrouver du temps, de la sĂ©rĂ©nitĂ© et de la clartĂ© dans ton quotidien d’entrepreneur.

ma première expérience professionnelle

J’ai Ă©tĂ© consultante en gestion de projet de digitalisation dans l’aĂ©ronautique pendant 5 ans, mais Ă  la base… je voulais ĂŞtre maitre-chien dans l’armĂ©e. J’Ă©tais passionnĂ©e d’éducation canine depuis mes 12 ans, et je regardais beaucoup trop de films d’actions.

Sauf que le rejet de ma famille pour ce projet, et mon manque d’affirmation de l’époque, m’ont fait changer d’idĂ©e. J’ai donc optĂ© pour une voie plus acceptable, plus « noble Â», donc sans lien avec les chiens : officier dans l’armĂ©e de terre.

J’ai passĂ© un an en classes prĂ©paratoires Ă  Saint Cyr. La mentalitĂ© de l’armĂ©e me convenait, mais l’aspect Ă©litiste de cette Ă©cole… pas du tout. J’ai donc dĂ©cidĂ© de devenir officier d’une autre manière : sur concours avec un diplĂ´me d’ingĂ©nieur.

Parallèlement à mon cursus d’ingénieur, je suis devenue réserviste dans l’armée de terre, je le suis restée 10 ans, et ma vision a changé…

Je me suis rendu compte des raisons profondes qui m’avaient conduites vers l’armĂ©e : besoin d’une 2ème famille fiable et stable, d’un cadre sĂ©curisant, envie de me sentir en contrĂ´le quel que soit le contexte… Bref, j’ai compris que j’avais eu besoin de l’armĂ©e pour me dĂ©velopper, mais aussi que je ne souhaitais plus entretenir ces schĂ©mas, et que ça ne me conviendrait pas au long terme.

Cette prise de conscience a eu lieu quelques mois avant la fin de mon cursus d’ingĂ©nieur, mais comme on dit « le coup est parti Â», donc…

J’ai cherché à mettre à profit ce diplôme

Sachant que j’ai une tendance naturelle à planifier, structurer, organiser, je me suis orientée vers un poste de gestion de projets. J’ai travaillé pendant 5 ans chez Accenture (entreprise de conseil), sur des missions visant à digitaliser les outils (et méthodes) de travail pour différents clients au sein de l’industrie aéronautique.

Donc des activités de : planification, analyse et optimisation de process, mise en place de KPI, support aux utilisateurs, test d’applications, mise en place et suivi de plans d’action, interface entre différentes parties prenantes du projet, change management…

Ce qui m’a plu dans cette expĂ©rience :

Toutes les activitĂ©s de gestion de projets : planification, organisation, optimisation de process, anticipation des risques…

L’aspect digitalisation / optimisation des mĂ©thodes de travail : me mettre Ă  la place des utilisateurs des applications dĂ©veloppĂ©es, pour faire en sorte de leur fournir des outils les plus adaptĂ©s et optimisĂ©s possibles

Le changement de mission régulier (en moyenne tous les 6 mois)

Le travail en Ă©quipe (/ duo) avec mes clients : avancer ensemble sur un projet commun

Alors pourquoi je suis partie ?

Je n’ai pas aimĂ© le contexte de mes projets (l’industrie aĂ©ronautique) :

L’aéronautique ne m’a jamais passionné

L’envergure des projets, et l’inertie pour mettre en place le moindre changement (liĂ© Ă  la taille de l’entreprise)

La dĂ©connexion entre les dĂ©cisionnaires et les « ouvriers Â», malgrĂ© le fait que les applications dĂ©veloppĂ©es Ă©taient destinĂ©es Ă  ĂŞtre utilisĂ©es par les ouvriers

Le manque de motivation et d’engagement de la part des collaborateurs impliqués dans les projets

La ligne directrice de toutes les dĂ©cisions : quasi exclusivement financière

Donc de manière gĂ©nĂ©rale le manque de sens, et mon incapacitĂ© Ă  « faire les choses Ă  moitiĂ© Â» et Ă  avoir un travail « alimentaire Â» dans lequel mon engagement n’est pas partagĂ© avec mes collaborateurs.

J’avais aussi envie de concilier ma vie professionnelle avec une de mes plus vieille passion (l’éducation canine), et d’entreprendre mon propre projet : m’investir, tester et assouvir ma soif d’évolution et d’apprentissage dans un secteur qui me tient Ă  cĹ“ur.

Mon parcours en tant qu’éducateur canin :

Après un bilan de compétences, et plus de 2 ans de préparation et de formation, j’ai quitté mon poste chez Accenture pour me lancer en tant qu’éducateur canin. Je voulais créer mon entreprise, dans laquelle je pourrais m’investir pour transmettre à mes clients ma compréhension des chiens, de leurs besoins, et de leurs capacités.

Ce que j’ai profondĂ©ment aimĂ© dans ce projet :

Tout ce que j’ai appris sur les chiens, et l’entreprenariat…

Que l’éducation canine soit le centre de mon business, de mes pensées etc.

Faire progresser mes clients dans leur compréhension de leur chien

L’accompagnement à distance et la construction de mes formations en ligne

Orienter mon projet et mon activité comme je voulais

Ça m’a donné le courage et la force de changer de métier, et de vie

Passer dans mon organisation quotidienne du mode « salariĂ© Â» au mode « entrepreneur Â» :
Le mode « salariĂ© Â», oĂą inconsciemment on doit occuper 8h par jour, tous les jours, 5 jours par semaine, et oĂą il y a toujours quelqu’un vers qui se tourner quand on a des doutes, des questions ou des problèmes.
VS le mode « entrepreneur Â» oĂą personne ne nous dit quand commencer Ă  travailler, ou quand finir, ni comment gĂ©rer ses doutes, et ses galères, ou encore quelles sont les vraies prioritĂ©s business, et pas les « prioritĂ©s Â» qu’on a envie / qu’il est confortable, de gĂ©rer Ă  l’instant t

Tout ce qui touche à la gestion, la stratégie, l’optimisation, l’automatisation… pour mon entreprise

La satisfaction de gagner de l’argent par soi-même que ce soit en local, et aussi sur le web

… la liste est longue

Ce qui m’a donnĂ© envie d’arrĂŞter ce projet ?

Les contraintes techniques liĂ©es Ă  l’enregistrement de vidĂ©os de chiens, et ma « cible Â» client en local.

Le pilier de viabilité financière de mon projet reposait sur de l’accompagnement à distance et des formations en ligne. Donc j’ai commencé à créer du contenu pour développer une audience sur Instagram, j’ai créé des shorts sur l’éducation canine (acquisition), des guides et formations gratuites pour construire ma liste email, et bien sûr des offres payantes.

Le problème ? Pour mes offres web, j’avais besoin de filmer des exercices avec les chiens sur les problĂ©matiques dont je souhaitais parler, sauf que :

Les chiens ne sont pas des acteurs, et c’est très difficile d’obtenir les « scènes » comme on les veut pour expliquer ensuite les concepts et les exercices

Mon business d’éducation canine en local Ă©tait très alĂ©atoire : parfois des mois avec plusieurs nouveaux clients par semaine, et des mois sans aucun client pendant 2 mois d’affilĂ©s…

Et ma clientèle locale Ă©tait très diffĂ©rente de ma clientèle web. Pour faire simple : en local : clients au pied du mur, et sans intĂ©rĂŞt particulier pour l’éducation canine.
VS clients sur Instagram : en recherche proactive d’information et de comprĂ©hension pour amĂ©liorer l’éducation de leur chien. Donc difficile de tourner des vidĂ©os sur certaines problĂ©matiques avec mes clients locaux parce que ça ne les concernait pas (/ n’intĂ©ressait) pas. Or j’en avais besoin pour le distanciel.

Bref : la viabilitĂ© financière de mon projet reposait sur mon offre web, et je n’avais pas anticipĂ© la contrainte technique liĂ©e aux vidĂ©os pĂ©dagogiques de chiens.

Sachant que je ne suis déjà pas très à l’aise avec la vidéo, le fait de rajouter en plus cette contrainte, et évidemment ensuite le traitement et le montage de ces vidéos… tout ça me prenait un temps considérable, et ça ne me convenait pas. J’ai donc décidé d’arrêter de développer mon projet d’éducation canine, et de construire un autre projet qui me convienne plus.

Pourquoi cette volonté de parler gestion du temps, charge mentale et productivité ?

Parce que ce sont des sujets qui m’obsèdent depuis très longtemps, et que je me suis aussi dĂ©couvert une passion pour l’entreprenariat, le marketing, la vente…

Donc aujourd’hui je veux aider des entrepreneurs du web à : se libérer du temps au quotidien, éradiquer la charge mentale, et retrouver de la clarté, sans faire une croix sur la croissance de leur entreprise.

Pourquoi les entrepreneurs du web (infopreneurs en particulier) ?

Parce que je trouve le business model de la vente de formation en ligne excellent. Personnellement je me suis beaucoup formĂ©e par ce biais, et sur des sujets très variĂ©s : Ă©ducation canine, webmarketing, dĂ©veloppement personnel, santĂ© etc.

C’est aussi un format que j’adore, parce qu’il m’a redonné goût à l’apprentissage, que j’avais perdu lors de mon cursus scolaire.

Et enfin, parce que je veux travailler pour des clients engagés, qui savent se remettre en question, et qui cherchent à faire avancer à la fois leur business, et une cause qui leur tient à cœur, et qui pour ça, sont prêts à y mettre leurs tripes (comme moi).

Tu veux savoir comment je peux t’aider ?

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